L‘AVC, aussi connu sous le nom d’AVC, d’AVC ou d’embolie, est une maladie qui affecte les vaisseaux sanguins responsables de l’apport de sang au cerveau. Bien que cette coupure dans l’arrosage puisse aussi être causée par un certain type de saignement, si le vaisseau se brise, on parle d’un accident vasculaire cérébral lorsqu’une artère est bloquée et ne peut pas transporter le sang jusqu’au cerveau.
C’est une pathologie plus présente chez les personnes âgées, surtout à partir de 65 ans, bien qu’il y ait de plus en plus de cas d’enfants de moins de 55 ans avec infarctus cérébral, en raison de l’augmentation des facteurs de risque tels que le tabagisme, la sédentarité ou l’hypercholestérolémie et l’hypertension.
L’AVC est la principale cause d’invalidité grave chez les adultes, c’est pourquoi de nombreuses personnes se demandent si cet état est réversible ou transitoire. Si vous vous êtes déjà demandé si les accidents vasculaires cérébraux peuvent être guéris chez Detective-Sante.com, nous avons la réponse.
Peut-on guérir un AVC ?
En tenant compte de ce que nous venons de mentionner, nous pouvons déjà vous donner une première réponse : l’infarctus cérébral peut être guéri, mais les facteurs à prendre en compte sont différents, c’est pourquoi nous vous les expliquerons ci-dessous.
- La première phase de ce processus est ce que nous appelons le traitement aigu, ou soins intensifs, ce sont les premiers traitements qui sont effectués dans l’hôpital lorsque le patient est admis, à ce stade, le patient est censé survivre et ne pas répéter l’épisode dans un avenir proche.
- Une fois que le patient est stabilisé et que le problème sous-jacent est résolu, la guérison spontanée commence, lorsque la personne affectée récupère ses capacités avant le début de l’infarctus, sans que l’équipe médicale n’ait besoin d’agir comme médiateur. Au cours des premières semaines, ce processus est beaucoup plus rapide, avec des progrès significatifs en peu de temps, mais plus il faut de temps pour se remettre d’une crise cardiaque, plus la récupération sera lente.
- Enfin, la phase de réadaptation aide le patient, si certaines de ses capacités motrices, motrices ou vocales ont été affectées, à reprendre sa vie quotidienne. La première partie de la réadaptation se fait à l’hôpital, pour préparer le patient à la vie avant le congé, mais cette réadaptation peut durer des années ou même toute une vie.
Comment elle se manifeste
Les chances de survivre à un AVC et celles de survivre avec un minimum de séquelles sont directement liées à la précocité avec laquelle le patient est traité ; plus tôt le patient est traité, plus grandes sont les chances de survie sans séquelles ; au-delà de 3 heures de survie devient très difficile.
Dans cette optique, il est particulièrement important d’être capable d’identifier le moment où nous sommes en face d’un AVC, afin de pouvoir détecter ses symptômes et l’arrêter à temps. Ainsi, dans Detective-Sante.com nous vous apportons la liste des symptômes les plus fréquents d’un accident vasculaire cérébral, afin que vous puissiez l’identifier :
- Il apparaît soudainement, sans avertissement.
- Il est très courant que les muscles du visage et d’un bras ou d’une jambe s’endorment, toujours d’un côté du corps.
- La personne montre soudainement une attitude très confuse.
- Problèmes de marche, de coordination et de maintien de l’équilibre.
- Perte de vision ou problèmes dans un œil ou les deux yeux.
- Maux de tête sévères.
- Un comportement étrange, enquêtant sur tout, peut aussi être accéléré notoirement ou implique
- Problèmes de parole et de langage.
- Perte soudaine de mémoire
Séquelles possibles
Comme nous l’avons déjà dit, un tiers des AVC laissent une sorte de séquelles, bien qu’elles puissent s’améliorer, elles deviennent souvent irréversibles. Nous expliquons ci-dessous les principaux effets de l’AVC :
- La paralysie est la conséquence la plus connue de l’infarctus cérébral ; elle affecte généralement la moitié du corps : visage, jambe et bras, empêchant la personne de développer normalement sa vie.
- D’autres conséquences possibles de l’AVC sont les troubles de la parole : difficulté à parler, à comprendre, à former des mots ou à les prononcer.
- De nombreuses personnes qui ont survécu à un AVC souffrent de troubles de l’équilibre, une pathologie qui peut être dangereuse en raison des chutes qu’elle provoque.
- Au niveau cognitif, la personne peut être affectée, ce n’est plus seulement que les risques de souffrir de démence sont multipliés par 8 ou 9, mais aussi que les activités telles que la concentration ou l’attention peuvent être très altérées.
- Les dépressions, l’anxiété et/ou la labilité émotionnelle sont des séquelles assez fréquentes chez ceux qui ont subi un AVC.
Bibliographie
- Documents CERFA – amiform (voir)
- du Collège des médecins du Québec – cmq (voir)
- L’accident vasculaire ischémique en pédiatrie. Quand y (voir)
- Suivi des patients atteints de cancer : les généralistes (voir)
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- LA TRANSPLANTATION CARDIAQUE JN Trochu, JL Michaud, JF Godin (voir)
- B16 – CAT devant une dissection spontanée des artères (voir)
- Les TCC pédiatriques (voir)
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