en France, les suicides sont la deuxième cause de décès chez les jeunes de 15 à 24 ans. Qu’est-ce qui se passe dans l’esprit d’un adolescent ?

Les pensées de mort sont plus répandues qu’on ne le croit et, malheureusement, dans certains cas, la personne parvient à les réaliser : Femme augmentation libido. Il y a quelques années, le suicide, l’acte volontaire de s’ôter la vie, concernait la population d’âge moyen, avec des pics après 50 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes.

À ce jour, le scénario s’est inversé, l’âge diminue et les cas sont en augmentation, y compris en ce qui concerne les idées suicidaires et les tentatives de suicide. Les épisodes d’automutilation sont également en augmentation. Le scénario de la Covid-19 a marqué une augmentation de ces phénomènes liés à des troubles mentaux chez les adolescents et les jeunes adultes.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, les suicides sont la deuxième cause de décès dans le monde chez les 15-29 ans, et il en va de même pour les jeunes françaiss de 15 à 24 ans.

Qu’est-ce qui déclenche les pensées suicidaires chez les plus jeunes ?

Il peut y avoir de nombreuses causes liées entre elles. Le suicide n’est en fait que la partie visible de l’iceberg d’un parcours de souffrance, de nombreuses frustrations accumulées et de beaucoup de choses tenues cachées et enfouies en soi. Les données sont dramatiques et en augmentation. Cela doit nous faire réfléchir sur le mal-être extrême qu’un jeune qui se suicide peut ressentir.

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L’automutilation chez les enfants et les adolescents : pourquoi mon fils se coupe-t-il et se fait-il mal ?

L’ automutilation est un trouble qui se maintient constant et continu dans la vie quotidienne du sujet. Cette caractéristique de répétitivité doit faire réfléchir sur le fait qu’il s’agit d’un trouble qui crée une dépendance, c’est-à-dire que les blessures et les lésions deviennent une sorte de plaisir pervers pour le sujet lui-même (Augmentation femmes retour congà maternité). Se couper, se blesser est un moyen de soulager l’anxiété et la souffrance. Le « syndrome d’automutilation répétée » désigne précisément ce mécanisme compulsif lié à une grande souffrance psycho-émotionnelle.

L’automutilation peut être de différents niveaux de gravité et peut être associée à d’autres types de troubles psychologiques tels que la dépression et les crises d’angoisse. Se faire du mal est le signe d’un fort malaise psychologique, résultant d’un malaise, et pour survivre à cette douleur, le sujet décide de mettre en place un comportement physique préjudiciable qui, selon lui, peut apaiser la douleur mentale.

Les causes peuvent être multiples, elles peuvent être liées à des expériences sociales négatives telles que :

  • épisodes de harcèlement
  • problèmes familiaux
  • mauvais comportement scolaire
  • abandon scolaire précoce
  • échecs de nature générale.
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  • Les études montrent qu’il existe une forte incapacité à faire face à des situations de stress émotionnel, avec une incapacité à gérer les émotions. Un faible estime de soi est une constante chez les sujets qui peuvent se faire du mal.

    Qui sont les sujets les plus à risque ?

    Les adolescents sont la population la plus à risque : Augmentation femmes voilées. Il s’agit principalement de filles âgées de 12 à 15 ans, qui traversent une période de grande transformation physique et de vulnérabilité émotionnelle.

    Une explication de la prévalence de ce trouble chez les femmes se trouve dans la vision socioculturelle stéréotypée qui voit les femmes éduquées dans une sorte de répression des débordements physiques, tandis que les hommes plus
    Une explication à la prévalence de ce trouble chez les femmes réside dans la vision socioculturelle stéréotypée qui voit les femmes éduquées dans une sorte de répression des débordements physiques, tandis que les hommes sont plus enclins à exprimer leur malaise et leur colère à l’extérieur. Après l’adolescence, on constate une baisse de la prévalence chez les femmes et une augmentation des cas chez les jeunes hommes adultes.

    Avez-vous besoin d’un spécialiste ?

    Savoir reconnaître une situation à risque permet d’intervenir rapidement et de prévenir des épisodes tragiques. Un changement important de la personnalité et des habitudes normales, comme le silence ou le retrait de la vie sociale, doit être une sonnette d’alarme pour les parents ; dans ces cas, il faut essayer d’ouvrir un dialogue avec les enfants, avoir une communication ouverte et surtout savoir écouter. En outre, il est essentiel de s’adresser à un spécialiste et d’entreprendre le bon parcours de psychothérapie.

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